LE RAZLEFION, gaz toxique …. «fiscalisable»

Vous avez du, comme moi, hier matin, subir la «cellule de communication»  pleine page 24 heures de l’ETAT  sur son nouveau joujou à grande valeur ajoutée : le RADON. Je me souviens d’une timide tentative il y a quelques années à ce sujet mais l’option «traque à l’amiante» avait pris le dessus dans la technique de création de PIB. Ce n’était que partie remise. Coucou le revoilou le RADON  bien organisé, calibré près à faire du fric à tout va avec l’alibi habituel  de la santé et de la sécurité de l’honnête citoyen. Une belle nouvelle loi avec obligation de contrôle, un taux toléré délibérément  bas afin de ratisser le maximum et comme à l’accoutumée une obligation d’assainir tout d’abord les bâtiments publiques (augmentation de la dette de la collectivité) puis un délai pour les propriétaires privés avec mise à l’amende si non obtempération. Tout est ficelé empaqueté, légiféré … Soyez prêt à cracher au bassinet en grignotant dans votre épargne vieillesse.  Pour rester de bonne humeur, je conseille à nos politiciens toutes tendances de rajouter une taxe à leur arc en prévoyant  un étalonnage du gaz «razlefion» qui doit sûrement se nicher dans les étrons humains : déterminer une mesure étalon très basse et hop, rebelote obligation d’assainir tous les WC d’abord des bâtiments publics (écoles, hôpitaux, administrations,  commissariats etc.) puis chez les privés et pourquoi pas, pendant qu’on y est aussi une loi pour nos caisses à minous avec un système de sas à ouverture automatique. Que de liquidités rentrantes sonnantes et trébuchantes qui permettraient  à l’ETAT féodal et à ses collabo… rateurs de mener grand train de vie en paupérisant de façon crescendo  les honnêtes gens qui n’en peuvent plus de ce théâtre guignol.

PA KESSELRING REPUBLIQUE LIBRE DE GRESSYLAND.

HASTAG … Balance ton fonctionnaire

Je trouve le moment fort adéquat, après la libération de la parole des femmes pour dénoncer le harcèlement machiste découlant, pour certains, sur l’option sexuelle de lancer maintenant : « HASTAG dénonce ton fonctionnaire » afin de créer un grand lien de solidarité  entre tous les administrés contribuables volontaires persécutés par le harcèlement administratif dont fait souvent preuve nos administrations politiques  en créant de manière sempiternelle et crescendo une kyrielle évolutive de règlements assassinant de plus en plus toutes volontés d’indépendantisme financier et la possibilité de production d’un produit fini à un prix de vente en adéquation avec le pouvoir d’achat du citoyen lambda. Qui d’une tracasserie d’assurance, qui d’une tracasserie bancaire, qui d’une tracasserie de la commission d’impôt, qui d’une tracasserie AVS, qui d’une tracasserie médicale, qui d’une tracasserie LPP, qui d’une tracasserie territoriale, qui d’une tracasserie de mise en conformité, qui d’une tracasserie de mise à l’enquête, qui d’une tracasserie des service sociaux, qui d’une tracasserie assurance chômage, qui d’une tracasserie ORP, qui d’une tracasserie routière, qui d’une tracasserie des démarches à faire pour un aîné à qui donner une fin de vie empreinte de dignité, qui d’une tracasserie successorale … C’est avec regrets que je stoppe ma liste qui pourrait s’avérer bien plus exhaustive mais je transgresserai le règlement du courrier des lecteurs (signes limités) et ne pourrais pas, par la non publication de ces lignes, fédérer votre enthousiasme à lancer le mouvement : « HASTAG balance ton fonctionnaire ».